samedi 31 mai 2008
Si Dieu existait, il s'appellerait Mario...
Aujourd'hui, après une semaine d'intense débat en Hypokhâgne™ sur Mario, sur les différents niveaux et les différentes versions, ainsi que d'intenses échanges de souvenirs avec M'sieur Salah, j'ai rejoué à Super Mario Bros 3 !Rien que la pochette... Premiers souvenirs d'enfance aussi ?
Les après-midi passé sur des niveaux qui paraissaient absolument impossibles.
La découverte du jeu. Cadeau de Noël ? D'anniversaire pour mon frère ? Pour moi et mon frère ?
Bizarrement, la première chose que je peux dire dessus, c'est qu'on avait mis au moins 1 jour à passer la toute petite première étape... Qui peut se faire désormais en 20 secondes...
La découverte des passages secrets...
Les batailles entre Mario et Luigi...
La console qui restait allumée des journées entières parce qu'il n'y a pas de sauvegarde dessus.
Et là, c'était presque pareil.
J'ai même retrouvé des sensations de mal aux doigts tellement il faut forcer pour bien diriger Mario parfois.
Bref. Je raconte n'importe quoi... Je divague sur des jeux vidéos.
Mais Mario est un peu une allégorie du surréalisme. Il sait faire d'excellents cadavres exquis : un plombier combat des champignons en lançant des boules de feu.
-M'en fout, j'ai une plume qui vole toujours si jamais j'arrive pas à passer ce niveau là !-
C'était mon "bon vieux temps" de "jeune vieux con". On repasse à d'autres bêtises -promises- demain.
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Bref, tout ça pour dire qu'il faut manger des tomates au goûter, c'est important.