Couleur Musicale Hebdomadaire.
Image Hosted by ImageShack.us
Petite Fille | Moitié-Homme Moitié-Loup | Ton Appartement :

vendredi 30 mars 2007

Olympic remain' !

Ne perdons pas des habitudes si bien prises... Un peu de retard, et une longue review écrite à l'arrache et pas retravaillée malgré le retard. Tant qu'à faire...


Au programme de la soirée, il y avait donc trois groupes que je connaissais plus ou moins vaguement à chaque fois : Pravda, Nelson et pour finir Gomm. Mais pour le coup, j'y allais véritablement dans un esprit de découverte.

Non, pas autant que ça à l'arrache l'arrivée...

Après une arrivée sur l'Olympic à l'arrache, c'est-à-dire en retard d'une dizaine de minutes car il y avait un frangin qui prenait le train, je rentre vite fait dans la salle en pensant qu'il faudra lutter pour atteindre péniblement le coin "pause du sac" et être à proximité de la scène. Je passe la porte, qu'on m'ouvre gentillement au passage (en réalité, juste deux/trois personnes qui venaient du bar et qui rentrent devant moi) et là... Personne ou presque dans la salle. Pire que pour Bikini Machine en première partie des Wampas ! Je crois qu'en ce moment, les nantais ont décidés d'inverser le quart d'heure qui porte leur nom dans leur sens...

Enfin ça n'a pas d'importance tout ça. On va plutôt en profiter pour se rapprocher (poser mon sac ? Ba non, du coup j'ai oublié...) et faire un constat de Pravda. J'avais peur d'une chose avant de les voir, bien que j'avais entendu des trucs de leur part déjà, c'était d'avoir le droit à un "The Kills II" sachant que les suites ne sont pas ma tasse de "Kaffee". Et puis j'avais lu une très petite interview d'eux où ils parlaient notamment des bouts de scotch portés sur la poitrine de la chanteuse pendant les concerts et tout le côté sexe...
En fait, ça a été assez bon j'ai trouvé. Pourquoi ? Parce que justement ça n'était pas une redite. Toutes les compos ont leur son particulier, space est le mot qui convient dans tous les sens, qui fait le charme de tout ça. Bon, c'est parfois un poil répétitif comme "Tu Es A l'Ouest" (Je suis mental, tu es métal ?), mais la voix de la chanteuse récupère tout au vol. Et puis au début du concert, avec eux, j'ai enfin comprends ce que c'était la musique "à couper le souffle". Ma gorge qui était encore meurtri par une semaine et demi de toux intensive a voulu fermer les frontières de l'air (j'ai une gorge LePeniste ?) suite aux vibrations de la basse (vraiment poussé trop fortes quand même). Mais c'était une expérience à connaître... Et pour finir, j'ai trouvé l'épisode du scotch très drôle et classe. C'est pas fait n'importe comment uniquement pour réveiller le mâle qui sommeille dans la moitié de la population. Et puis avec les trois scotchs du début, ça faisait un joli T-shirt à rayure !

Voilà, Pravda c'est ça !

Pause.
Non non, pas le groupe, ils sont pas là ce soir eux... Juste que Pravda a fini, et donc je vaque à mes occupations d'entre-groupes (pas entre-metteur).

En fait après, c'est Nelson qui va apparaître. L'entrée en scène avec le chanteur qui tourne en rond, puis d'un seul coup fait des petits sauts pour arriver jusqu'au micro ça donne un résultat "perplextible". Mais en même temps, quand il commence à réciter les paroles de "People & Thieves" (il me semble que c'était celle-là) on est déjà subjugé. Et tout le reste du concert a été de subjugations en subjugations... C'est parfois à la limite du trop expérimental, mais ça m'a mis une sacrée claque tout de même. Je ne parlerais même pas du passage où le chanteur prends la place d'un guitariste, ni de la chanson que je connaissais vaguement et dont j'étais persuadé que c'était pas eux. J'ai adoré aussi le passage où ils utilisent un instrument bizarre sur la guitare, ou "The Over Song", ou les passages à trois voix... On pourra regreter vraiment deux choses : leur début de concert catastrophique, dans le sens où ils ont cassé une corde et une basse ne marchait pas sur la même chanson. Le chanteur revenait sans cesse vers le fond de la scène, et à la fin de cherchait même plus à chanter laissant les autres faire avec. Et puis ils sont pas très causants et surtout pas souriants... Mais pour ce dernier point, je ne remercierais pas Ema (je crois) qui en avait parlé et du coup j'ai surveillé en permanence la moindre esquisse de sourire.
La fin du concert pour Nelson a dû être moyennement prise aussi. Enfin ils devaient avoir un rappel de prévu, puisque les lumières ne se rallumaient pas mais personne ne les réclamaient. Du coup après deux minutes on est sorti de l'ombre.

Une jolie photo de Nelson... je trouve.

Nouvelle pause. Discussion un peu, autour de vastes sujets comme "Déportivo"... La pause dure longtemps, très longtemps... Je pensais que Nelson avait gagné du temps sur le programme et que j'aurais le droit à une Gomm (Le groupe venus des profondeurs nordiques de la France hein, pas le Groupe Opposé à la Mondialisation des Marchés) plus longue, en fait pas du tout. Ou presque... Ils sont entrés en scène avec 5 minutes d'avance !

Et là dès le départ, je pensais que ça serait complètement dans la veine de Nelson et je me retrouve avec des chansons dynamisantes. La joie d'être sur scène de la chanteuse-claviériste est parfaitement communicative, la relation entre les quatre membres est complice et ça se sent. De plus, il faut noter la disposition sur scène avec un batteur juste à côté de la scène. J'ai pas vu grand chose parce que je devais partir, mais du truc "connu" comme Rejoice, à la "double-reprise" ou des chansons inconnus type Ghinzu de dix minutes ça n'a été que du bon ! Et quand la chanteuse annonce que deux ans plus tôt, ils étaient venus avec Ghinzu dans la même salle... Une seule envie, s'arracher les cheveux d'avoir manqué ça.

Oh, la chanteuse de Gomm...

Une petite anecdote finale : en sortant, j'ai croisé très furtivement les membres de Nelson qui étaient à leur merch'. Et en-dehors de la scène, ils sourient beaucoup j'ai l'impression...

Tiens, c'est fini ... Demain, un nouveau truc ? Je sais que j'avais quelque chose à mettre, mais je sais plus quoi. On verra donc.

lundi 19 mars 2007

Vive Woody le Cow-Boy !...

Encore de la musique ? C'est quoi ces manières de voyous... La prochaine fois sera différente, ou pas du tout.


Au premier jour, on s'inscrit sur myspace par hasard ou folie.
Au deuxième jour, on ajoute des personnes que l'ont connait d'avant-myspace.
Au troisième jour, on personnalise sa page pour paraître bien.
Au quatrième jour, on continue de personnaliser.
Au cinquième jour, on ajoute des groupes connus dans ses amis, parce que c'est la classe...
Au sixième jour, on fait des découvertes de liens en liens, si on cherche, de groupes fantastiques.
Au septième jour... J'ai dit que je me reposais, nom de Dieu !
Et ça recommence encore et toujours, avec myspace...


Un jour, un sixième jour, je tombais sur le myspace de Toy Fight. C'est quoi ça ? Bon, un groupe français qui chante anglais et qui fait de la pop... On va leur laisser une chance, écoutons-ça. Et là, c'est déjà une claque, ça secoue et ça fait du bien.


En plus, ils ont des amis qui leur font des clips géniaux...

Cela aurait pû en rester là, puisqu'il se révèle finalement que Toy Fight est un groupe mort. Ce myspace est juste pour mettre quelques compos qu'ils avaient fait, comme ça, mais depuis de nombreux autres projets sont nés autour de celui-ci. Mais un mini-buzz comme myspace sait le faire viendra à reconsidérer en partie la décision des trois membres du groupe. Pour donner naissance à un album fin 2006 : Anagram Dances.
Celui-ci regroupe des enregistrements de 2003 mais certaines ont été réenregistré pour l'occasion en 2006. Trois longues années voyagent ainsi l'album, ou l'inverse.

Tel le messie, l'album surgit de nulle part...

Après une commande par internet obligatoire si on habite pas Lyon ou Paris, pour un prix assez dérisoire (8€), on arrive à avoir un objet entre ses mains. Je sais, certains peuvent en avoir gratuit... Mais écouter une barre de céréales, ça coûte moins cher mais c'est aussi moins extasiant...
Comme souvent, on jette un coup d'oeil au livret... Ah mais il est mince, dommage ça. Juste deux images au centre, et derrière des remerciements ou les infos sur l'enregistrement par exemple. Mon petit regret, il faut le dire.
Après, on se précipite selon toute vraisemblance vers quelque chose qui permettra l'écoute. Je regarde avec envie les ciseaux, mais je me rends compte que juste derrière il y a un de mes fidèles lecteurs CDs. On prend l'album (classe la couleur orange, mon inconscient me souffle alors "années 70/80", mais mon conscient répond qu'il y connait rien à cette époque) mais paradoxalement, pour se laisser porter par lui.
Ca parle ? On croit assister à la répétition du groupe en fait. Bon, faut fermer les yeux c'est vrai, ou alors les chercher partout autour de soi durant l'écoute mais cette seconde méthode a de nombreux défauts.
Embarquement immédiat, le choix est clair, si vous ne voulez plus éteignez le poste immédiatement, mais sinon on vous laisse plus le choix à partir de The Hidden Second. Pourquoi après celle-ci ? Parce qu'il a toujours été déconseillé de descendre en marche...

C'est ainsi que cette chronique s'arrête là, puisque mon propre voyage commence. Et je tiens à en profiter à fond : les voyages forment la jeunesse...

Et je ne suis pas vieux, moi !

mardi 13 mars 2007

Un peu de légèreté maintenant, ça fera du bien...

Medi-T, les vainqueurs de la sélection française !

Depuis peu, on connait les futurs représentants de la France pour l'Eurovision 2007 à Helsinki : Medi-T ! Et puisque la chanson de l'Eurovision et encore plus les paroles m'ont subjugé et en bon patriote, je devais me pencher sur ce qu'ils ont pu faire d'autres.
Ah, on me signale en fait qu'ils ont perdus en finale, Medi-T... Les vainqueurs seraient un groupe qui se ferait appellé les Fatals Picards. Bon, c'est dommage j'avais une super chronique sur Medi-T. Si quelqu'un la veut tout de même, elle sera disponible à 21h18 au Square Michel Platini à Dubaï, et s'autodétruira dans la minute qui suit...

Ah ba en fait, je dois faire une chronique sur ça

Maintenant, je me retrouve à faire une chronique sur du rock indé-débile... On va commencer par le commencement, à savoir l'écoute du disque appellé Pamplemousse Mécanique. Ca tombe bien d'ailleurs, en ces temps de retour du beau temps pour un printemps annoncé mais aussi de maladies, on a besoin de vitamines pour sauter sur tout ce qui bouge... (je parle bien entendu d'un point de vue politique, garder l'oeil ouvert sur les discours préformatés qu'on peut nous faire)
Alors l'album ? Et bien déjà, musicalement c'est agréable dès la ligne de départ avec Bernard Lavilliers. Ca chambre beaucoup, et c'est entraînant, que demander... Encore mieux ? Il suffit de passer à la piste 2. Même sur un thème plus "social", les Fatals sont aussi grincants et peut-être plus performants, selon le point de vue... Mais si celle-ci est prise dans une atmosphère "gaie", les Fatals savent le faire aussi d'une façon plus triste, comme sur Mon Père Etait Tellement De Gauche ou Au Mariage de Kevin et de ma Soeur (c'est normal les titres aussi longs ?)...
Et après tout un début d'album qui donne goût à la réécoute, et une chanson hilarante sur un personnage coincé dans Amélie Poulain, on passe à l'aspect reprise des Fatals Picards. Commandante est clairement centré vers les groupes "engagés" qui veulent faire passer des messages en chantant dans une langue étrangère, notamment espagnole. (c'est vrai ça, pourquoi à chaque fois c'est en espagnol ?) Ensuite, Monter le Pantalon se veut le pendant d'un tube d'il y a quelques années d'un groupe toulousain (à dire avec l'accent), tandis que Cure Toujours s'adresse elle aux gothiques sur une musique indochinoise.
Après s'être attaqué aux corses et repris un vieux tube particulier : une chanson "tragi-comique" terrible, aussi bien dans le sens djeun's que dans le sens vieux con. C'est à se demander pourquoi ils font des chansons débiles parfois, alors qu'ils ont un talent énorme puisqu'ils sont capables de ça. Mais en fait, leur talent il est là, c'est de savoir passer de tout à rien, de l'ouest à l'est, de l'OM au PSG d'un coup mais en restant toujours cohérent.

Les Fatals apportent la lumière...

"Et puis merde"..., ce qu'ils font ça reste dans la tête alors c'est que c'est bien ! Et puis avec l'humour qu'ils ont, il n'y a pas de honte à aimer ce qu'ils font (ou au contraire, il faudrait). La chanson On Se Demandait est un résumé splendide de l'album : de la mélodie, des blagues foireuses (Vous êtes encore trois mille ce soir, enfin entre trois et mille avec les spots j'peux pas voir), de la dérision...
Et il reste encore des pistes pas vraiment cachés, mais là je ne dirais rien dessus... c'est à découvrir avec de la surprise...

Pour un néophyte de l'humour picard que j'étais, d'un point de vue personnel j'ai été conquis. Surtout parce qu'il n'y a pas que ça, mais que la musique qui accompagne n'est pas relégué derrière, mais accompagne au même niveau. Les Fatals, c'est pas du rock indé-débile, mais du rock indé-lébile (oh oh, jeu de mot...) parce qu'on devient facilement accro au Pamplemousse.

A une époque, on disait : Mozart est mort seul, Les Betteraves mourriront seules... Pour les Fatals, ils seraient plutôt comme Verdi, moins dans la virtuosité. Il est mort comment alors, Verdi ?

Même si les Fatals Picards, ils ont tout piqués à Justin(e) sur l'idée des contraires...

Et parce que certains résument plus vite et mieux que moi, en plus de façon dessiné. Pour tout les feignants qui ont pas lu, et je les comprends... :
Au passage, allez voir le reste du blog d'où ça provient.
Y'a la possibilité d'écouter les Fatals Picards raconter n'importe quoi lors de cette interview aussi... Si vous voulez. Si vous voulez pas, ils raconteront pas.

Pièce d'émotion...

Non, ceux qui disent que je suis en retard, c'est tout à fait faux, j'avais juste oublié d'appuyer sur publier... ou pas.

Ce matin, impossible de dormir... Pour une fois en plus que je pouvais dormir à foison, évidemment comme je tousse quatre fois d'affillée toutes les trentes secondes, des micro-dodos de quinze secondes ne me satisfont pas. Je me décide alors à sortir du lit, tant pis, et je vais m'installer devant la télé. Si il n'y a rien d'intéressant, ce n'est pas grave puisqu'avec ma toux je manquerai immanquablemment une bonne partie de ce qui peut se dire. Et si au contraire, et à mon étonnement presque complet, une chaîne est décidée a offrir quelque chose, ça m'occupera au lieu de rester allongé dans mon lit...

Petit tour des chaînes très rapide, et c'est Canal Plus qui attire mon attention avec La Matinale... C'est toujours mieux que rien, et dès fois il y a des chroniques intéressantes. Je zappe sur la quatre juste au moment de l'invité politique du jour, en pleine période pré-sidentielle quelqu'un qui expose ses idées ça n'est pas une mauvaise nouvelle...

Tiens, mais en plus c'est ce cher Guillaume Peltier... Vous savez pas qui c'est Guillaume Peltier ? Enfin quand même, un des représentants d'un des candidats les plus importants de l'élection qui arrive ! Bon, on peut se demander comment cela se fait qu'on ne puisse noter l'apparition d'un petit préfixe devant son nom. Quand même, un réprensentant d'un Vicomte Le Jolis de Saintignon, on ne peut que s'extasier devant le courage de ne même pas avoir de préfixe. Enfin, ce cher Guillaume n'est dont pas Guillaume Le Conquérant, puisqu'il n'a pas de préfixe. Et puis c'est pas une Jeanne d'Arc inversée qui voudrait bouter les Anglais hors d'Angleterre. Non, lui son dada c'est plutôt tout ce qui se rapproche d'une certaine religion. En fait, c'est une Jeanne d'Arc qui aurait des visions de Croisade au milieu du XXIème siècle.

Ainsi, ce Guillaume Peltier est un personnage très complexe... En même temps, pour être second du navire De Villiers, il faut être fêlé (dans le mauvais sens du terme). Un navire qui cherche à se saborder lui-même, puisqu'il attaque ses voisins qui ont pourtant des idées qu'il a repris à son compte. C'est une nouvelle façon de faire de la politique, d'un certain point de vue... C'est comme si, en France, pour éviter la défaite, on décidait d'installer une dictature au service de ceux qui nous ont battu tout en offrant la moitié du pays à ceux qui nous ont attaqués... Euh ?...

Mais quel était le fond de l'intervention de Guillaume Peltier, aujourd'hui, alors que son candidat dans les sondages navigue entre les deux premiers pourcentages. Et bien tout d'abord, il voulait nous informer (comme il l'avait déjà fait apparemment quelques mois auparavant sur la même antenne) que la campagne de Phillipe de Villiers n'avait pas commencé. Après tout, pourquoi pas, je veux bien le croire là-dessus même si on a vu de plus en plus de MPF à la télé quand même... Ensuite, que lorsque que tout le monde aura le même temps de parole, c'est-à-dire d'ici peu après le dépot définitif des parrainages (j'ai pas la date exacte), on se rendra enfin compte (pauvre de nous qui nous égarions en oubliant que Phillipe de Villiers était LA solution à tout nos petits problèmes) que la vraie politique de droite elle est menée par le MPF et pas par Sarkozy et ses petit(e)s ami(e)s... En fait, entre une minute de n'importe quel candidat et une minute villiériste, même le français moyen qui ne comprend pas la politique et qui pourrait être tenter par un vote pour Bayrou, Royal et d'autres sera subjugé par la puissance et la justesse du discours fait par le chouchou de Guillaume Peltier. Et ainsi, de Villiers passera des 1% de ses sondages à au moins 7%.... En tout cas, moi je préfèrais la minute blonde...

Mais ce n'est pas fini, car dans l'émission il y a le principe du "J'aime/J'aime Pas" : un fait d'actualité est exposé et l'invité doit répondre par une des deux propositions faites dans le titre... Là on a pu voir vraiment ce que c'est que le MPF. Le ralliement de De Villepin à Sarkozy : je m'en fous. Le ralliement de Corinne Lepage à Bayrou : je m'en fous. Le droit à l'euthanasie : alors là, j'aime pas du tout... Les autres, on s'en fout. Ce qui compte, c'est notre pomme... Et cette pomme de Dieu, il faut pas y toucher, en aucun cas. Parce que nous, on aime le seul vrai Dieu...

Et enfin, on a fini par apprendre que de Villiers était le seul candidat libre, indépendant et rebelle. Comme dirait les quiches, dans ce cas, je préfère rester moche et remoche...