lundi 19 mars 2007
Encore de la musique ? C'est quoi ces manières de voyous... La prochaine fois sera différente, ou pas du tout.
Au premier jour, on s'inscrit sur myspace par hasard ou folie.
Au deuxième jour, on ajoute des personnes que l'ont connait d'avant-myspace.
Au troisième jour, on personnalise sa page pour paraître bien.
Au quatrième jour, on continue de personnaliser.
Au cinquième jour, on ajoute des groupes connus dans ses amis, parce que c'est la classe...
Au sixième jour, on fait des découvertes de liens en liens, si on cherche, de groupes fantastiques.
Au septième jour... J'ai dit que je me reposais, nom de Dieu !
Et ça recommence encore et toujours, avec myspace...
Un jour, un sixième jour, je tombais sur le myspace de Toy Fight. C'est quoi ça ? Bon, un groupe français qui chante anglais et qui fait de la pop... On va leur laisser une chance, écoutons-ça. Et là, c'est déjà une claque, ça secoue et ça fait du bien.
Cela aurait pû en rester là, puisqu'il se révèle finalement que Toy Fight est un groupe mort. Ce myspace est juste pour mettre quelques compos qu'ils avaient fait, comme ça, mais depuis de nombreux autres projets sont nés autour de celui-ci. Mais un mini-buzz comme myspace sait le faire viendra à reconsidérer en partie la décision des trois membres du groupe. Pour donner naissance à un album fin 2006 : Anagram Dances.
Celui-ci regroupe des enregistrements de 2003 mais certaines ont été réenregistré pour l'occasion en 2006. Trois longues années voyagent ainsi l'album, ou l'inverse.

Comme souvent, on jette un coup d'oeil au livret... Ah mais il est mince, dommage ça. Juste deux images au centre, et derrière des remerciements ou les infos sur l'enregistrement par exemple. Mon petit regret, il faut le dire.
Après, on se précipite selon toute vraisemblance vers quelque chose qui permettra l'écoute. Je regarde avec envie les ciseaux, mais je me rends compte que juste derrière il y a un de mes fidèles lecteurs CDs. On prend l'album (classe la couleur orange, mon inconscient me souffle alors "années 70/80", mais mon conscient répond qu'il y connait rien à cette époque) mais paradoxalement, pour se laisser porter par lui.
Ca parle ? On croit assister à la répétition du groupe en fait. Bon, faut fermer les yeux c'est vrai, ou alors les chercher partout autour de soi durant l'écoute mais cette seconde méthode a de nombreux défauts.
Embarquement immédiat, le choix est clair, si vous ne voulez plus éteignez le poste immédiatement, mais sinon on vous laisse plus le choix à partir de The Hidden Second. Pourquoi après celle-ci ? Parce qu'il a toujours été déconseillé de descendre en marche...
C'est ainsi que cette chronique s'arrête là, puisque mon propre voyage commence. Et je tiens à en profiter à fond : les voyages forment la jeunesse...
Et je ne suis pas vieux, moi !
Libellés : Chronique Album
1 Comment:
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- Carlos said...
19 mars 2007 à 21:43thegreenvoid.blogspot.com