Couleur Musicale Hebdomadaire.
Image Hosted by ImageShack.us
Petite Fille | Moitié-Homme Moitié-Loup | Ton Appartement :

lundi 29 octobre 2007

L'équipée Sauvage.

Abomination ! (comme dirait "certain"), j'ai oublié de faire un article depuis des années soniques...


Vous êtes d'un naturel peu ordonné ? Au contraire même, vous trouvez qu'il est plus simple de retrouver quelque chose parmi d'autres qu'au milieu de nulle part ? Parfait, vous n'avez plus qu'un acte à accomplir : trouvez la preuve de votre jeunesse ; ou Proof Of Youth pour les anglophiles. Si possible, vous pouvez auparavant subir le tonnerre, l'éclair et vous enflammer, afin de mieux atteindre la sus-dite preuve.

D'un point de vue strictement matérielle, vous devrez retrouver une bande venue d'une proche contrée : l'Angleterre, entre Brighton et London. Mais toutefois, ensuite, cette preuve est "insituable" sur l'échelle terrienne. Il faudrait plutôt que vous fondiez une nouvelle géographie pour le faire. Ce qui pourrait d'ailleurs vous débarasser de la vieille et de sa pension qui réduit votre budjet considérablement.

Pour cela, vous pouvez commencer par chercher des Fausses Identités, des Clés de la Ville et même dans le meilleur des cas le Langage Universel. N'oubliez pas que le principal, c'est de retournez dans votre enfance... Dans votre éveil totalement libéré face au monde. Dans votre folie insouciante. Dans votre Candide musical... Faîtes-le bien.

Une équipe sera toujours sur le départ pour vous aider, si besoin. Vous pourrez même faire appel à des étrangers.
Vous ne serez plus, vous-même, qu'un étranger en terre étrangère, libre de vos mouvements.
Prêt à accomplir ce que vous aviez toujours voulu faire au fond de vous.


The Go! Team.



La Modif' et L'alchimiste mélangé, c'est vraiment spécial... Un peu comme tout, en réalité.

dimanche 28 octobre 2007

Seth, un Dieu ?

Review rapide...


Ce soir, c'était la 5ème édition du Soy Festival à Nantes !
Plus exactement, c'est le cas depuis hier soir... Mais moi j'ai profité d'un concert ce soir.
Au programme, gratuitement, Seth Faerzoglia alias le leader de Dufus pour ce qui a été appellé un "opéra rock".



J'ai longtemps cru que ce concert avait eu lieu hier soir, et donc que je l'avais manqué à cause de la fatigue... Mais finalement, alors que j'allais au bar du concert gratuit de demain, je me suis rendu compte que j'avais tout décalé d'un jour.
Demi-tour, ou presque, et direction le "Café Grimault" dans une rue que je ne connais même pas. J'arrive... Je pense être en retard, ce n'est même pas le cas mais c'est blindé dans le bar. Mince, mince... Tant pis, on va se frayer un chemin étape par étape. Et au final, je serais assis idéalement face au chanteur.
Le concert en soi ? Baclé... Seulement 6 "chansons". Cela aurait été payant, j'aurais réclamé un remboursement.


Plus sérieusement, chanson par chanson :
1°) 5 minutes de chauffe assez calme...
2°) 45 minutes de folie... Alternance entre passage littéralement folk et d'autres bien plus énervés avec un chant "explosif" et surprenant. Il y a eu quelques "onomatopés" du plus bel effet aussi... Et un cassage de corde au 2/3 qui entraîne une histoire drôle de la part d'un membre de Dufus que je n'ai pas compris, mais vraiment pas... Normalement, cet opéra est avec des marionnettes mais étant donné le lieu, c'était difficile. C'est promis que ça sera fait pour le printemps prochain.
3°) Applaudissement très nourris qui entraîne une nouvelle chanson... "How long ?" "An other of 45min !..."


4°) Une chanson tout aussi magique que celle d'avant, on a même l'impression que le niveau augmente avec des "Papapa" géniaux.
5°) Tous les membres de Dufus sont appellés à venir sur scène... Petite impro d'une de leur chanson... Scène surréaliste avec des musiciens qui se "répondent" (2 aigus contre 3 graves), qui tapent un peu partout, qui s'amusent avec une lampe... Fort, juste très fort.
6°) Conséquence directe, des applaudissements encore plus nourris qu'auparavant. Conséquence indirecte, une sorte de slam de la part de Seth... Un slam "habité". Impressionnant, même si on comprends 1 mot sur 10 ça donne la chair de poule.

A noter aussi les habits du chanteur... Bizarre, confectionné par lui-même si j'ai bien compris. Et tous les membres de Dufus globalement ont leur look "particulier"...

Exemple de ce que peut donner la musique dufusienne :

Et si vous cherchez "Fun Wearing Underwear", vous aurez la chanson n°5.


C'était quand même très bon. Jolie découverte que je vais poursuivre a priori.

CD et Ciné, ça rime.

Petit retour dans la période "cours" malgré l'idée vacancière présente depuis quelques heures... Une journée de quelques heures, tout en variation.




Lundi 22 Octobre.
La routine du lundi matin se met en place... Du réveil à 6h30 jusqu'au départ en catastrophe 1h plus tard et des oublis occasionellement fréquents. Le train se passe sans véritable traquas, d'autant que mon sac est volontairement allégé cette semaine. Et puis on retrouve un peu les même personnes dans ces trains du lundi matin.
Premier changement, dès l'arrivée angevine... Et surtout, l'attente devant la FNAC jusqu'à son ouverture à 10h. Là, ça sera l'achat en vitesse (monnaie-prépréparée) d'un CD et la course jusqu'au bus, où un manceaux m'attendait en même temps que son bus (la classe). Retour dans la routine : le sac est déposé au lycée, le cours d'allemand est toujours aussi intensif (mais à trois, ça serait difficile de faire autrement).

Changement d'optique, après les réjouissances du début de matinée... 6h de DS à venir : 1h de vocabulaire d'outre-manche (ou outre-atlantique ?) puis 5h de vocabulaire outre-intelligible.
"Pourquoi la souffrance ?". Question qui serait venu de toute façon à l'esprit quand on reste un certain nombre d'heures à la même place, à côté de la racaille de la classe dite aussi "coloc".


Ouais, j'ai réussi à mettre une image "émo" !


Sortie de la salle, après presque 4h, pour aller dans ma chambre... Travailler. J'aime la géographie, définitivement. Heureusement, l'accompagnement musical est de rigueur avec le travail, ou plutôt "la réflexion" puisque le propre se fera "plus tard". ("quoi, c'est pour demain ? J'aurais le temps... Je finis demain midi, dans le pire des cas !")

Le véritable interêt de l'article est ici.
Ceux qui veulent ne sont pas obligés de lire les pérégrinations ci-dessus. (mais certains me feront remarquer que, dans une logique certaine, ou une certaine logique, si ils sont rendus ici dans la lecture c'est qu'ils ont lu ce qu'ils précèdent... Et bien : "ou pas".)
Bref : avant-première du dernier Gus Van Sant aux 400 Coups, Paranoïd Park.

Plus abouti qu'Elephant. C'est la première pensée qui me vient en sortant. Je suis époustouflé, c'est le terme. En fait, je ne suis pas dans le même état qu'en sortant de Last Days "à l'époque". C'est différent. Et pour cause, il est beaucoup plus proche qu'Elephant... Mais il y a un plus par rapport à ce dernier. Surement parce qu'il donne à voir la réaction après le meutre accidentel, et non pas ce qui précède. Comme d'habitude, enfin, le film est magnifié par la BO.
C'est tout ce qu'il a à dire. En-dehors d'une dernière incitation à aller le voir pour se faire son propre avis dessus.

Mais retour en force du "skatos" que je suis ?

Et ensuite, c'est la fin d'une frise et d'une journée...

dimanche 14 octobre 2007

La Déportification.

13 Octobre... La soirée où y'avait de tout et partout, en même temps... Ou presque. Bref... Une nouvelle review en perspective.


Ca commence par une arrivée tardive et quelque pressé aux alentours de l'Underground. Après une longue recherche de place et l'énervement face au créneau, je repasse devant le bar nommé ci-dessus et voilà qu'une place se libère, et voilà que je réussi enfin vaguement ma manoeuvre. Parfait donc... Et début de la soirée.
Soirée qui se décline en trois temps, façon Michel Butor : Déportivo étant la femme avec qui je suis marié depuis des années, le match de rugby mon fil conducteur pour rejoindre ma maîtresse CCSF?... Mais en fait, là où Butor fait le voyage aller, moi j'ai fait le retour.



Je commence donc par rendre visite, pour la première fois, à CCSF?. Enfin je pourrais dire plus tard : j'y étais ce soir là. Et ça valait le coup... On ne parlera pas des quelques erreurs, on se contentera plutôt de se remémorer la bonne ambiance, les bons morceaux, Stupid Girl qui a toujours autant de succès et le côté "chaleureux" du bar. En résumé, je suis content de les avoir enfin vu...
Ensuite, y'avait l'interrogation entre le match et Les Morues. Le choix se portant sur Les Morues, après concertation intensive. Set classique dans un premier temps, et puis un peu de piment lorsque le son des micros-chant disparaît. Que faire ? Un peu d'impro tout d'abord (yeah), puis on recommence le concert dès le début mais sans le chant donc si on excepte le refrain crié (re-yeah), puis on continue là où on en était rendu... Et c'est là que le miracle se produit, avec une solution trouvée pour le chant, sauf que j'étais à côté des enceintes quand il a repris. (et là, plus du tout yeah...) Du coup, la fin se fera pour moi plus éloigné de la scène, à côté d'un poisson retrouvé... Mais comme ça, cela a été l'occasion d'un "chant" en "choeur" sur "Soumets-Toi", et pour finir dans l'habituel : 53.



Allez c'est parti, on file voir le match sur un écran géant. Sauf que finalement, on sera loin, on verra pas grand chose, et la partie du match que j'ai vu correspond à un 6-0 pour l'Angleterre. Donc une ellipse temporelle est de rigueur et de circonstance.

Départ pas trop tard ensuite, direction l'Ecole Polytechnique... presque pas galère à trouver. Heureusement qu'il existe des gens dans des brasseries qui viennent de La Roche Sur Yon et qui savent où c'est : pas la première sortie, mais la deuxième. (merci à toi, ô personne que je ne reverais jamais mais qui m'a fortement aidé sur ce coup)
Puis c'est l'heure de la panique une fois sur place : 1°) Il existe des places libres sur ce parking ou quoi ? 2°) Je peux rentrer s'il vous plaît ? 3°) Euh, Déportivo ils sont mis à 21h30 sur la prog' !... et il est 00h00. Mais premier soulagement lorsque j'ose demander à Julien si ils sont déjà passés... Et puis ensuite quand je trouve Kiko (salut à toi !), accompagnée par Rockaddict (salut à toi aussi !), alors que Blankass est sur la scène. (Blankass c'était comment ? Euh.... J'ai pas vraiment écouté on va dire, mais ça n'avait pas l'air très convainquant.) Enfin bref, le matos est ensuite installé pour la triplette pendant que ça discutaille vaguement à droite et à gauche, que je me promène à droite et à gauche (ils ont pas de café ? J'suis crevé moi, ils auraient pû y penser !), et que je prends une dose (de quoi ? mystère (hihihi)) par mesure de sécurité.



Rentrons plutôt dans l'heure de vérité, et "Ouvr[ons] La Porte", après que le Majordome Kiko nous ait fait part de sa présentation dans sa forme classique... Et puis ça enchaîne sévère avec dans le désorde une bonne partie des chansons de Parmi Eux, comme Roma ou Sur Le Moment. Ensuite on a eu le droit à La Brise.. Qui continue encore et encore de gagner au fil du temps, et en live c'est vraiment la grosse tuerie, et plutôt agréable en volant sur du "Brassens à l'unisson" ; puis "Ne Le Dis A Personne" qui est vraiment "jobartiste" aussi bien à écouter chez soi ou dans une salle-gymnase. Ca me permet d'enchaîner sur l'éclairage pendant tout le concert qui a été très agréable à voir ou percevoir, comme le final de la chanson dont je parlais avec une période "clignoctique" (ça ne veut rien dire en soit, mais ça exprime bien mon ressentiment et comme je ne retrouve pas le terme exact)... Ca voudrait le coup que je me pose pendant un des shows, un jour, ou l'autre.
Etrange ou bon signe ? En tout cas, la réécoute live des Bières m'a prouvé que je m'étais habitué aux violons et que j'étais même devenu demandeur. J'avais vraiment l'impression qu'il manquait un petit quelque chose. "La Salade" réveille le public suite aux "nouvelles", tellement qu'il y a un débarquement scènique pour reprendre le dernier couplet. Ensuite je ne me souviens plus tellement de l'ordre exact des chansons. Mémoire ?... Pour finir en suivant l'état qui progressait en moi, c'est-à-dire en vrac, je retiendrais ma découverte attentive de Blue Lights suivi de la nouvelle version de Suicide Sunday pour laquelle je me suis vraiment "posé" dessus pour bien la retenir, ainsi que d'autres nouvelles pour lesquelles je suis incapable de dire laquelle est laquelle mais qui semblent de bons présages pour le 22. Le meilleur moment du concert fût "I Might Be Late", cette chanson est vraiment incroyable je trouve, enfin je sais pas elle a ce petit quelque chose en plus par rapport à toutes les autres... Et puis quand Jérôme s'emmèle un peu dans ses paroles c'est toujours plutôt drôle, et puis ce petit kazoo... Sourire instinctif jusqu'aux oreilles, si ce n'est plus. (ça rappelle de "vieux" souvenirs.)
"Une chanson [...] que vous devez surement connaître" : Parmi Eux. Bordélique à souhait, mais pas autant que 1000 Moi-Même... Et on approche petit à petit de la fin, mais on y est pas encore. Il faut "attendre un petit moment", assez petit d'ailleurs, pour qu'ils reviennent sur scène achever ce qu'ils ont commencer par A l'Avance, avec David évidemment et puis puisqu'un concert de Déportivo n'en serait pas un sans celle-là : Paratonerre, dans une "version longue".
En tout et pour tout, je ne sais pas combien de temps ils ont tenus sur scène mais c'était vraiment intensif, avec beaucoup de délires petit-à-petit avec le public : chanter We Will Rock You, faire faire quelques olés, obliger un voleur de set-list à parler avant qu'il parte etc.

Et au final, une seule envie : les re-re-re-revoir dans une petite salle comme le Chabada ou l'Olympic... Rendez-vous est pris pour le 31, avec le 22 sur l'itinéraire.


Et dans tout ça, je bosse quand moi ?

dimanche 7 octobre 2007

Smokey Thunder Canyon Down Rolls

Chose promise, chose dûe...

Mais ça ne sera pas une réelle chronique. Je n'ai pas eu le temps d'y réfléchir assez on va dire. Je ferais mieux la prochaine fois.

Au lieu de cela, je me contenterais d'offrir des ressentis en vrac face à mes premières écoutes du dernier opus sorti par Devendra Banhart : Smokey Rolls Down Thunder Canyon.




  • Wouah, quel titre !
  • Mais l'objet en lui-même est splendide, ou bien ? J'adore les petits dessins dans le livret, j'adore le CD qu'on pourrait croire peint, j'adore...
  • Devendra Banhart, ça reste du Devendra Banhart quoiqu'il arrive. Toujours aussi efficacement beau...
  • Premier changement remarquable, c'est que les sonorités sont jusque-là très hispaniques.
  • Samba Vexillographica, ou "la chanson qui fait croire que tu es au milieu de la jungle".
  • Seahorse : montée en puissance pendant 8 minutes pour aboutir à du rock des années 60... Qu'est-ce que j'avais dit avant ? Rien, rien...
  • "La mer qu'on voit danser le long des golfes clairs". Mince, mais non, j'ai pas changer d'album, et pourtant musicalement c'est ça. Génial. La meilleure de l'album ?
  • On est encore revenu dans les années 60, alors que le titre pouvait faire croire à un retour en terres hispanisantes ? "Déroutamment" bon.
  • Contre-pied avec la plus mélancolique des chansons jolies, ou l'inverse.
  • Et par conséquent, ça se finit par un demi-tour complet. J'ai l'impression d'entendre du Hendrix au début.
  • "Lover", la future "I feel liked a child" ? Mieux vaut la découvrir rapidement, avant la pub' qui l'utilisera, parce qu'évidemment c'est donc un tube en puissance.
  • Carmencita... Une ballade... Finalement non, un hymne pur et dur, qu'on chanterait volontiers un soir sur la plage avec ses amis...
  • Pour finir l'album, comme pour toute traversée, la fin est plus sereine est plus calme. Bien que tout soit relatif, et donc il y a dans la première un peu d'électro, mais ensuite on retrouve comme au début de l'album le Devendra Banhart "d'avant", de Rejoincing in the Hands.
  • My Dearest Friend. Peut-on faire meilleure fin ?

En résumé relatif et abstreint par le temps : un album qui part un peu dans tous les sens... Déroutant, mais si agréable. Une sorte de voyage orchestré dans lequel on se laisse porter.
Et toute cette réflexion pour aboutir à une finale absurdement parfaite (dans le sens où elle va dans celui que je veux) : ne dit-on pas que les voyages forment la jeunesse ? Alors pour profitez de celui-ci, je reste encore un peu un enfant.

Maman ! Maman ! Plus tard j'veux être comme ça !

J'ai vraiment plus l'habitude de le faire. Il va falloir y remédier...

mercredi 3 octobre 2007

Prépararien ?...

L'avantage cette année de la spé géo, c'est que je vais avoir le temps de faire plein de conneries... Comme réécrire des dicos ! Youhou... Et puis du coup, j'ai une vague motivation pour ce blog soudaine. Après aucune idée si ça restera... Mais j'ai une faim de chronique. La drogue, c'est (vraiment) mal.


Eteindre : utilisation de peinture noirâtre.
Fenêtre : ouverture entre la braise et l'incendie.
Créatif : invention de la vie non-chauvine.
Lego : ce qui se fixe en tournant mal.
Théorie : mélange sino-indien.
Trieur : pour se métamorphoser suivant l'époque.
Blouse : tristesse du monochrome.
Bohème : l'amour spirituel.
Centre : âme "ouais". (pouvant être dite positive)
Gomme : retour à la case départ.
Professeur : voir lecteur.
Vrille : urbanisation par aire.
Classe : ensemble de chaises.
Social : pour mieux manger l'autre.
Division : séparation remarquable à l'oeil.
Anomalie : normalien de la faune.
Retraite : servitude par l'âge.
Actif : vie avant le chauvinisme.
Libéral : sortie le lion (ou la coccinelle) de sa cage.
Rural : manifestation nommée "grogneuse".
Litote : rapidité d'un monde sauvage sans amour.
Réseau : voyage aquatique.
Allumer : incompréhension par la blancheur.
Lecteur : ce qui passe du simple au compliqué.
Pause : courage de laisser respirer son corps.
Précaire : ce qui est dans un désert certain.
Chauvin : personne voulant croire à un feu éternel chez lui.
Normalien : gradation extrème du vraisemblable.
Abscès : blocus des accès.
Chaise : ce qui s'interroge.
Charge : attaque pesante.
Poème : amour corporel.
Campagne : ce qui poursuit ou précède la grogne.
Cahier : néant quotidien du passé.
Mémoire : ce qu'on oublie d'utiliser.


Et voilà... J'ai pas vérifié ce que j'ai écrit, c 'est du quasi-brut, alors je sais pas ce que ça vaut et je ne sais même pas si y'a des mots que j'ai déjà pu traiter auparavant. Bref on verra ce que je fais ce week-end, si j'ai le temps. Surprise, surprise...