Petit retour dans la période "cours" malgré l'idée vacancière présente depuis quelques heures... Une journée de quelques heures, tout en variation.

Lundi 22 Octobre.
La routine du lundi matin se met en place... Du réveil à 6h30 jusqu'au départ en catastrophe 1h plus tard et des oublis occasionellement fréquents. Le train se passe sans véritable traquas, d'autant que mon sac est volontairement allégé cette semaine. Et puis on retrouve un peu les même personnes dans ces trains du lundi matin.
Premier changement, dès l'arrivée angevine... Et surtout, l'attente devant la FNAC jusqu'à son ouverture à 10h. Là, ça sera l'achat en vitesse (monnaie-prépréparée) d'un CD et la course jusqu'au bus, où un manceaux m'attendait en même temps que son bus (la classe). Retour dans la routine : le sac est déposé au lycée, le cours d'allemand est toujours aussi intensif (mais à trois, ça serait difficile de faire autrement).
Changement d'optique, après les réjouissances du début de matinée... 6h de DS à venir : 1h de vocabulaire d'outre-manche (ou outre-atlantique ?) puis 5h de vocabulaire outre-intelligible.
"Pourquoi la souffrance ?". Question qui serait venu de toute façon à l'esprit quand on reste un certain nombre d'heures à la même place, à côté de la racaille de la classe dite aussi "coloc".
Ouais, j'ai réussi à mettre une image "émo" !Sortie de la salle, après presque 4h, pour aller dans ma chambre... Travailler. J'aime la géographie, définitivement. Heureusement, l'accompagnement musical est de rigueur avec le travail, ou plutôt "la réflexion" puisque le propre se fera "plus tard". ("quoi, c'est pour demain ? J'aurais le temps... Je finis demain midi, dans le pire des cas !")
Le véritable interêt de l'article est ici.
Ceux qui veulent ne sont pas obligés de lire les pérégrinations ci-dessus. (mais certains me feront remarquer que, dans une logique certaine, ou une certaine logique, si ils sont rendus ici dans la lecture c'est qu'ils ont lu ce qu'ils précèdent... Et bien : "ou pas".)
Bref : avant-première du dernier Gus Van Sant aux 400 Coups, Paranoïd Park.
Plus abouti qu'Elephant. C'est la première pensée qui me vient en sortant. Je suis époustouflé, c'est le terme. En fait, je ne suis pas dans le même état qu'en sortant de Last Days "à l'époque". C'est différent. Et pour cause, il est beaucoup plus proche qu'Elephant... Mais il y a un plus par rapport à ce dernier. Surement parce qu'il donne à voir la réaction après le meutre accidentel, et non pas ce qui précède. Comme d'habitude, enfin, le film est magnifié par la BO.
C'est tout ce qu'il a à dire. En-dehors d'une dernière incitation à aller le voir pour se faire son propre avis dessus.
Mais retour en force du "skatos" que je suis ? Et ensuite, c'est la fin d'une frise et d'une journée...