Couleur Musicale Hebdomadaire.
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samedi 26 janvier 2008

Nombre Premier, Nombre Dernier.

Faut que j'arrête avec les coïncidences qui fusent à la tête comme ça...


Je parlais hier de l'expérience qui a inauguré ce blog.

Je me demande alors ce que devient Le Nombre, justement. Un premier rendez-vous est pris sur la planète internet sur leur site officiel.

Une première nouvelle sur le site date d'un mois environ. Un passage radio qu'on peut télécharger. Déjà assez intéressant... mais surtout, la nouvelle précédente attire mon oeil :
Le Nombre a des nouvelles tounes!
Rien que ça ! Et ça date du 30 Juillet 2007 en plus... Je n'ai que 6 petits mois de décalage horaire, pas grand chose.



Le deuxième rendez-vous, sur myspace cette fois-ci, prend donc place. Et ces deux titres envoient la sauce épicé. Ils sont bons. Très bons. Très très bons. Le synthé de "Sur Ton Île" mérite le détour. En plus ils ont le luxe d'avoir Sonny Duval (des Breastfeeders, bientôt par ici bientôt ; en France du Sud/Est, Espagne ou Allemagne) pour les accompagner à la guitare.

En bref, Le Nombre continue de faire des tueries et en promet de nouvelles d'ici peu...


Encore une bonne promesse pour 2008 !

1 Comment:

  1. Anonyme said...
    "Papillon Papillon" disaient les castors ce jour là. C'était bien sur par bienséance, mais çon on ne le dit pas. Alors, c'est qu'il se mi à pleuvoir. Les canards caquètent et empactent des cacaouettes au cac40.
    Bien sur sur de rien. En partant il est resté planté là.
    D'un formidable bond il découvrit la station verticale! Il était homme! Il s'est ouvert aux yeux de la vie. Les pissenlits arrivent juste à leur maturité dailleur.
    C'était purement par hasard qu'i se rendit compte que la porte était restée fermée lorsqu'il était entré dans la cabane. Tous les paysans riaient à en perdre les jambes.
    Il était temps d'aller se dégorudir les oreilles! "Olé!" Tel était le cri qu'on pouvoit entendre. La statue pleurait.
    -C'est mystérieux
    -By Jove Francis, je n'ai jamais vu a de ma vie.
    -Métaphores métaphores mon ami
    -Mais cependant...
    -N'en dites pas un mot, les murs ont des oreilles...
    Les renards reniflent les coins, mine de rien, mais on sait tous bien ce qu'ils manigancent. Passons, passons, tout cela ne nous reagrde pas!
    C'est alors que tout passa. Les autres, rieurs comme d'habitude, nous regardent avec complaisance. Les blondinets passent encore sous les autruches et la vie sit son court.
    Berlin 1939

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