samedi 8 mars 2008
J'aime pas avoir du retard. Enfin. J'aime pas surtout écrire ce que je voulais écrire avant. Plus tôt. Dans d'autres contrées. Mais il faut passer par là...
Les vacances, c'est l'occasion de se poser un peu. De faire des choses pour le plaisir surtout. Alors quand un Dévédé apparaît soudainement dans les rayons d'une médiathèque dont, par un très heureux hasard, vous avez la carte qui permet l'accès à l'emprunt, c'est la joie instantanée de se dire qu'on va pouvoir regarder un bon film.
Quitte à quitter le monde de la musique et arrêter le défilement des disques pendant quelques minutes.
Pas tout à fait. Le Dévédé apparu se révèle être traître : le film tourne autour de la musique !
Walk The Line.
J'avoue honteusement que je ne l'avais donc pas encore vu. Alors qu'il me semble, avec une certaine certitude, avoir vu des BA (bande-annonce dans le monde incompréhensible de l'abréviation) sur la chaîne connue pour son cryptage en zone de perturbulences.
Mais arrêtons de tourner autour des différents sujets à cause de tournures homériques. Arrivons plutôt tout droit dans le film.
Ca parle de Johnny Cash.
C'est relativement bon.
C'est mortel par moment.
La zic' déchire grave.
Ca part dans tous les sens.
On croirait être à la place de Joaquin Phoenix carrément.
La fin, j'aime moins, mais c'est le côté ricain, t'as vu.En tout cas, depuis, l'effet du film a été estompé un peu. Mais ça reste un bon souvenir de vision soudaine pendant l'époque où le repos était roi.
Article bazardé vite fait, mal fait. Parce que de toute façon, je n'arrive pas à l'écrire bien cet article. J'arrive même plus à écrire vraiment tout court. Y'a un autre article (la musique hebdomadaire) qui était prévue à l'heure, mais...
Libellés : Chronique Ciné