lundi 13 août 2007
La flemmardise est un fléau bénéfique pour la santé... Si la santé des blogs n'existe pas.
On continue dans la série pour les groupes "tenant particulièrement à coeur malgré une musique dite différente". Pour aujourd'hui, nous feront un "quadratour" dans les profondeurs australiennes au climat si finnois : comprendre Architecture In Helsinki.Plusieurs raisons (et pas la peine d'hurler ou de partir en courant ou de maugréés sur mes goûts musicaux, ça ne modifiera pas l'article) à cela. En fait, pour la place accordée dans l'Audit Aurium il n'y a qu'une véritable raison : célébration de la sortie du dernier opus Places Like This.
Mais dans un endroit comme celui-ci, l'architecture - inconnue en temps normal - venu du grand froid européen chamboule tout. Ils arrivent tout simplement à obtenir de la place et aboutir jusqu'à 4 morceaux en écoute...
Pourquoi aller jusqu'à 4 alors que déjà 2 peuvent sembler insupportables à certaines chastes - ironie ? Je me pose moi-même la question - oreilles... Et bien parce que justement, j'aime plus les chastes oreilles... Ou plutôt, ma condition humaine de fanatique (groupi en d'autres termes) m'oblige à réagir suite aux lectures hebdomadaires des critiques d'albums parues dans (Dimanche) Ouest-France (pour ne pas leur faire de pub').
En fait, je suis tombé sur une critique plutôt mauvaise sur AIH... Mais surtout, une critique que je trouvais totalement à côté de ce qu'est cet album. En fait, c'est une chronique (toujours mon avis subjectif qui parle) qui s'égare du côté de la comparaison avec un album précédent visiblement adoré et nommé In Case We Die.
Pour être franc, j'aurais du mal à dire lequel des deux opus est le plus réussi à mes oreilles. Ils n'ont, pour ainsi dire, que peu de rapports entre eux... Le groupe depuis a considérablement évolué, changer, modifer et autre verbes du même accabit avec notamment le départ de deux des huit personnes présentes à l'enterrement de leur morosité (concept génial), laissant une unique présence féminine désormais (fait visiblement ignoré, puisqu'il y aurait des "voix féminines" selon OF ?).
En bref, c'est cela qui est peut-être le plus remarquable à mes yeux dans Architecture In Helsinki... Et parfois le plus regrettable... Un mouvement omniprésent et presque perpétuel, dans la musique, dans le groupe, dans un seul morceau, sur scène (puisqu'ils changent régulièrement d'instruments)... Le seul lien, c'est les côtés foutraques et joyeux, encore que cela se veut moins fort sur le premier opus.
C'est ainsi que pour faire une évolution accéléré, pour la "démontrer", je me sentais obligé de mettre quatres chansons.
1° The Owls Go, extrait du premier album Fingers Crossed.
2° In Case We Die, extrait du second album éponyme.
3° Frenchy I'm Faking (Dat Politix Remix), extrait de l'album de remix We Died, They Remixed.
4° Like It Or Not, extrait du dernier album. (si vous suivez, vous connaissez le nom)
Pour finir... Une petite vidéo "magique" où chaque membre a pris une place qui n'est pas la sienne, sur un morceau du premier album.
Repart en braillant un espèce de "Dibidamdam, dibidam, dibidam..."
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