Couleur Musicale Hebdomadaire.
Image Hosted by ImageShack.us
Petite Fille | Moitié-Homme Moitié-Loup | Ton Appartement :
Affichage des articles dont le libellé est N'imp'. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est N'imp'. Afficher tous les articles

jeudi 28 août 2008

Retour de Flamme (tris)

Petites aventures corseptines ?


Révélation de la soirée : j'ai vu les acteurs de Couvre-Feu TV au festival... c'était pendant Pneu, sur le camping, le dimanche matin. Ils étaient aussi sur scène avec La Chanson Du Dimanche, à la fin du set. Ils m'ont aussi engueulés parce que je n'ai pas participé à la farandole automobile... Bref, c'était les premiers Super-Héros de la soirée.

Il y en a eu pas mal d'autres par la suite, sur le camping, dans la soirée. Une très fameuse "super cuillière" notamment, qui avait sa chanson. En vrac, on aura aussi aperçu Super Chat ("donnez donnez moi le pouvoir du chat !"), Super Violeur, Super Bouée, Super Burkinabé, Super Ménestrel... Que de beau monde sur ce camping. L'endroit le plus hype du week-end.

J'en arrive où avec ces histoires ? A Oldelaf & Monsieur D ! J'aurais aussi pû passer par la Chanson sus-cité pour y arriver, mais le chemin était moins anecdotique.



J'aurais aussi pû parler des scouts, mais les "amour[s] des JMJ" c'est trop classique.

vendredi 22 août 2008

Week-end (3)

Jusqu'à ce jour, j'ai toujours détesté les gens que je rencontrais dans Nantes à la fin Août, arborant tous leurs T-shirt Couvre-Feu, signe distinctif voulant clairement rappeller "moi j'y étais, pas toi".

Cette année, le pas est franchi.

J'y serais. Ca sera à mon tour de narguer tout le monde avec un joli T-shirt !

[Au Mans, c'est hype Couvre-Feu ou pas ?]

mercredi 20 août 2008

Prép'avance

M. Ricard quitte son lit vers cinq heures ; il enfile un vieux pantalon ajouré, et commence à bourdonner dans l'ombre de sa bonne, les souliers à la main, butant sur les murs et les meubles astiqués, lourd, instable, bruyant comme les mouches dont il interrompt le nocturne intermède, suivi par leur agitation incertaine et leurs rase-mottes de protestations contre ce réveil sans la chaleur solaire, sans l'allégresse du jour qui les aurait doucement tirées de la torpeur, si le vieil entrepreneur ne sautait rituellement de son lit au chant du coq, alors que son autocar a encore deux heures pour démarrer.


Putain, j'adore cette phrase... Je vais adorer ce bouquin ?

jeudi 19 juin 2008

La LS, c'est fini...

Une année de faite. Pleine de souvenirs. Pleine de Cadavres en Ski. Pleine de Michel. Pleine de visites nocturnes d'Angers et ses environs. Pleine de portes ou de fronts -à coup de bouquin IEP- cassés. Pleine de ratatouilles. Pleine d'internat plein d'eau. Pleine de renversements. Pleine de messages en allemand. Pleine de Dialectik. Pleine de Témoins. Pleine de "Ta Gueule".
Et pleine de parapluie pour moi. -C'est grâce à ça que j'ai un Bergson d'Or, quand même !-

Le mur LS... Photo prise par la "City Girl".

Alors, on recommence ça quand ?

dimanche 1 juin 2008

Paris Ouvert

C'est parti pour une semaine de fous furieux...

Concours blanc à la clé. Ca va être génial.
Et la semaine n'a pas encore dévoilé comment elle se finira : Déportivo et compagnie en Sarthe ? Ma Valise pas loin de St-Nazaire ? Goran Bregovic au coeur de Nantes ?
Ca se décidera au dernier moment...

Une seule chose est sûre maintenant : j'ai un billet de train en directement de Massy TGV.
Je pars à 6h30 de Nantes.
Mon billet est assuré en cas de décès d'un proche... ou de moi-même.

Let's go.

samedi 31 mai 2008

Come-back

Si Dieu existait, il s'appellerait Mario...


Aujourd'hui, après une semaine d'intense débat en Hypokhâgne™ sur Mario, sur les différents niveaux et les différentes versions, ainsi que d'intenses échanges de souvenirs avec M'sieur Salah, j'ai rejoué à Super Mario Bros 3 !

Rien que la pochette... Premiers souvenirs d'enfance aussi ?
Les après-midi passé sur des niveaux qui paraissaient absolument impossibles.
La découverte du jeu. Cadeau de Noël ? D'anniversaire pour mon frère ? Pour moi et mon frère ?

Bizarrement, la première chose que je peux dire dessus, c'est qu'on avait mis au moins 1 jour à passer la toute petite première étape... Qui peut se faire désormais en 20 secondes...

La découverte des passages secrets...
Les batailles entre Mario et Luigi...

La console qui restait allumée des journées entières parce qu'il n'y a pas de sauvegarde dessus.


Et là, c'était presque pareil.

J'ai même retrouvé des sensations de mal aux doigts tellement il faut forcer pour bien diriger Mario parfois.

Bref. Je raconte n'importe quoi... Je divague sur des jeux vidéos.
Mais Mario est un peu une allégorie du surréalisme. Il sait faire d'excellents cadavres exquis : un plombier combat des champignons en lançant des boules de feu.


Un des niveaux les plus "fous" du jeu...


-M'en fout, j'ai une plume qui vole toujours si jamais j'arrive pas à passer ce niveau là !-


C'était mon "bon vieux temps" de "jeune vieux con". On repasse à d'autres bêtises -promises- demain.

mercredi 23 avril 2008

En cours de route...

Quelques réflexions à la va-vite...




Première révélation :
Cueillir des fleurs n'a (plus) rien de romantique.
Je ne suis pas prêt de me laisser conter fleurette par du muguet.


Ah ah ah. ['sont bêtes Andréas et Nicolas, et c'est ça qu'est fort. Encensés sur Myspace !]
Je teste ma voix avec un microphone afin d'optenir un son optimum...

La chanson du dimanche, même quand on est un mardi et qu'on ne vit que des semaines de 5 jours et demi (comprendre : je ne connaissais pas vraiment de chansons)... Ca met une bonne ambiance, c'est sympa.

Hier il faisait un temps à tartiflette. Heureusement que les Trois Fromages étaient là.
Cet après-midi, beaucoup moins. Mes condoléances aux Trois Fromages.

Le Titanic est dangereux pour la santé. Ca tangue trop.
Le body-surfing sans prévenir la mer est une mauvaise idée.


Quand je bosse, je n'ai pas (trop) mal.
Quand j'arrête de bosser, c'est pire que tout.


101 km/h. Moins vite que sur une autoroute mais ça avance...
... Il manque plus que 4343km...3535km...2828. Ou 21500...17500...13500... brins de muguet.

Cool. [Keep]


Dédicacé aux ambidextres, aux unijambistes, aux canards et à Babar.

jeudi 17 avril 2008

Histoire sordide...

Elle vole de pages en pages. Elle saute des étapes plutôt. Elle qui se permet parfois de disparaître pendant de longues heures, de réapparaître au loin. Mais il est rare qu'elle recule. Elle semble sûre d'elle, avançant toujours. Ses vols lui semble être tout sauf anodins. Au plus ils peuvent être surprenants, hasardeux ou étranges ; surtout lorsqu'ils sont courts, quotidiens et finalement ennuyeux.

Cela semble totalement contradictoire et tout est ainsi avec elle. L'inverse apparaît comme être le bon sens, et vice-versa. C'est lors de ces banalités qu'elles apprend le plus, sans le savoir, sur elle-même. Elle apprend sur les autres pour s'appréhender. Ce qu'elle préfère, c'est d'être bercé par de douces histoires lui titillant l'imaginaire, les rêveries ; ou de faire des rencontres fantastiques et d'écouter les autres parler. Tout ces personnes qui l'entourent deviennent rapidement d'excellent compagnons, avec lesquels elle aime

passer du temps.

Mais sa grande tristesse est qu'elle doit souvent changer de lieu. Elle perd totalement de vue celles et ceux qui partageaient ses volettements il y a encore peu de temps. Elle doit quitter ses nouveaux compagnons pour en apercevoir de nouveaux nouveaux.

Bien entendu, il lui arrive d'en recroiser parfois sur sa route. Dans ses continuelles contradictions, pourtant, ces rencontres lui posaient de nouveaux problème. Depuis la dernière fois, était-ce un statut quo, y avait-t-il une nouvelle rencontre qui apportait plus ou différemment que la première ? Le mystère s'agrandissait à mesure qu'il se dévoilait, avec le plaisir que cela procure.


La feuille continuait de voler de pages en pages, malgré tout. Toujours au milieu de la Contradiction, emportée par le flot de mots.

lundi 7 avril 2008

Sans titres...

Sans même me comprendre... C'est ça le pire.


Orange.
Comme une mécanique qui se dérouille lentement. Pas à pas, le son reprend ses droits, reprend ses doigts.
Un à cinq, ils se délivrent. Et la roue se retourne, et se retourne, encore et encore. La boucle est bouclée, même si elle est grande.
Et pourtant, rien n'apparaît.

Uniquement un vague horizon, trop lointain pour être appelé. On crie en vain. Rien ne vient.
La boucle se détourne, prend le virage, s'élève, redescend... se fige.
Le vide se projette.
L'horizon disparaît.

Cloche qui revient. Rythme horaire imperturbable malgré les tentatives coquettes : les tintillements s'accaparent à leurs hésitations de paraître. Quelques soubresauts, ici et ailleurs, quelques affaiblissements, là et bas.
On s'évanouit.

Tout devient .

dimanche 30 mars 2008

Envoi de Sondes

Les sondages sont réapparus après une zone de turbulence atmosphérique qui empêchait de les faire réapparaître...

Ils ont désormais pris leur base dans le bas de la colonne de gauche. Aucune connotation politique n'est notable.

mardi 19 février 2008

Messagerie

Les parents sont formidables !...


Autographe des Fataux et sucette en forme de coeur goût coca.

Hihihi.

[Pourquoi pas un scannage de toutes ses babioles précieuses - c'est un drôle de truc ça, tiens - un jour. Ou pas.]

Alors une fois n'est pas coutume, j'envoie vers un skyblog, c'lui de Maman. Surtout qu'il y a une review en cours d'écriture.


La suite plus tard, y'en a qui sont en vacances et qui se reposent, eux ! Et qui font leur boulimique de musique, j'ai de quoi écrire pour un mois avec le nombre de bons disques qui tournoient dans ma tête.

dimanche 10 février 2008

Ionesquisons un peu...

La scène se déroule dans une vieille demeure, avec cependant une décoration très disco, dans le style années 70. Un homme est seul, assis, sur un piano à queue repeint en vert. Il joue le fameux tube de Diam's "Laisse moi kiffer", ou l'écoute (dans une version pianifiée), voire les deux selon les souhaits du metteur en scène.

Homme 1 : La musique est un son...

Une femme entre côté jardin. Elle ressort côté cours sans un mot. Elle réapparaît alors au milieu du public. Cela peut être jouer par trois actrices différentes ou trois spectatrices qui auront été tirées au sort avant la représentation.

Femme 1 : Faux !
Homme 1 : Eh bien, Marguarita ! Que fais-tu là dans ma dissertation ?
Femme 1 : Je suis le correcteur automatique.
Homme 1 : (en aparté) Il faudra que je pense à refuser le diktat de windows quand j'en aurais le temps. Impossible de songer en tout liberté du langage...
Femme 1 : ...
Homme 1 : Mais que fais-tu ? Approche donc maintenant que tu es là. Tu vas pouvoir me raconter une histoire. Je n'ai pas encore envie de dormir mais il faut que je cherche le sommeil d'après Descartes.
Femme 1 : System failed. Please reboot. ... System failed. Please reboot.


Ceci n'est qu'une vague ébauche pour le moment. Une suite est possible, et même probable.

dimanche 6 janvier 2008

Une hirondelle ne fait pas deux tu l'auras.

............Le caribou buvait dans une fontaine de chocolat...
Mais ce n'était qu'un rêve. Impossible pour lui de boire dans cette fontaine auprès de laquelle il se reposait.


............Au loin, Henri chantait.
Oubliant qu'il était muet pendant ce temps là.

mercredi 5 décembre 2007

La mécanique du rêve - ou magie du réel.

Aujourd'hui, journée étrange... Un long voyage interminable, entre réalité et rêve. Dormant dans le temps.

Et surtout, des moments où l'on dort. On sent qu'on le dort. On ne peut pas être en train de faire autre chose que cela...
Mais pourtant, toujours un lien avec la réalité, aussi quelconque puisse-t-il être. Atterir dans la beauté de la mouvance immobile. Comme une chanson d'Arcade Fire, en quelque sorte, qui semble provenir d'ici mais embarque ailleurs.

Comme un livre de Mathias Malzieu, alias chanteur de Dionysos à ses heures. Prendre la réalité la plus simple, sans être banal, tout au contraire et en extraire le merveilleux. Métamorphoser tout et rien. Etre finalement plus proche que jamais de ce que sont les choses en tant que chose.
Quitte à parfois user d'anachronismes naïvement plaisant, parce qu'on parle toujours du passé en fonction de son présent, incapable de s'en démarquer.
Et puis toujours les mêmes thèmes qui débarque et s'immisce au plus profond des mots.

Une lecture qui semble naturellement foisonnante... Une puissance enfantine avec la fragilité adulte. Non-paradoxe du rêve, des songes, de l'imagination.
Et de l'émerveillement. C'est exactement ça. Pas du merveilleux, mais de l'émerveillement.
Méritant sûrement une relecture, d'ici quelque mois, avec une nuit totale sur soi dans la foulée.

Comme une chanson d'Arcade Fire, en somme.

dimanche 4 novembre 2007

Expressions Brumaires...

Un texte, c'est simple à faire... Il suffit de mélanger des mots les uns avec les autres.



Un caribou marchait, au gré du vent et de la lune, traversant des contrées qu'il identifiait toujours au premier coup d'oeil, comme si on lui soufflait à l'oreille ce qu'il devait savoir d'important sur chaque lieu.

Il marchait, tel un berger de l'impossible, tel un guide pour chaque chose que nous sommes incapables de voir. On ne pouvait pas non plus dire qu'il était seul, mais on ne pouvait pas dire ce qui l'accompagnait. C'était là que résidait la force de sa ballade nocturne.

Ainsi, il continuait inlassablement sa route, avec le rythme incessant d'une boucle endormie qui ne réalise même plus qu'elle continue toujours sur le même chemin. Il allait et venait aux quatre coins du monde, revenait parfois même sur d'anciens pas. Mais pourtant, cela ne le dérangeait pas. Il était en paix avec lui-même, l'esprit nomade, car les étoiles le perturbaient toujours moins dans ses moments là : hors de tout, proche de rien.

Ses pensées allaient de la chenille au marteau, il refusait catégoriquement de les fixer par peur mimétique de devenir une cascade en vadrouille. Il ne voulait pas de toutes les sacristies printanières et autres clivages sophiques qui auraient pû être pourtant son quotidien si il était resté, comme il doit l'être, là-bas dans son grand Nord.

Les étoiles étaient devenues une chance, il se rendait enfin compte du rôle qu'elles avaient joué pour modifier la rage intérieure qui sommeillait en lui. Toutes les étoiles, là-haut, dans un ancien grand Nord, avaient fait un appel au secours, par leur mine de lampes, en guise d'adaptateur symphonique pour son esprit. Un caribou s'était donc montré réceptif à celui-ci, il l'avait pris pour un "yaup" enfantin en quête de nourriture, en quête de la voie lactée maternelle que leur refusait Dieu. Et alors, sans qu'il le sache, elles étaient devenus un trieur de l'habitude, un bordel du roulement, une attitude souterraine qui le guidait à chacun des instants qui parvenait en lui.

Le caribou n'était plus l'enveloppe du monde brut. Désormais, le caribou deviendrait l'astronaute en bocal de tout ce qui devrait être, refusant ce qui est.

Afin de brûler l'éternel.



Et maintenant, on ne devrait plus le revoir... Je pense que la boucle est bouclée. Plus besoin de refaire le lacet.

dimanche 28 octobre 2007

CD et Ciné, ça rime.

Petit retour dans la période "cours" malgré l'idée vacancière présente depuis quelques heures... Une journée de quelques heures, tout en variation.




Lundi 22 Octobre.
La routine du lundi matin se met en place... Du réveil à 6h30 jusqu'au départ en catastrophe 1h plus tard et des oublis occasionellement fréquents. Le train se passe sans véritable traquas, d'autant que mon sac est volontairement allégé cette semaine. Et puis on retrouve un peu les même personnes dans ces trains du lundi matin.
Premier changement, dès l'arrivée angevine... Et surtout, l'attente devant la FNAC jusqu'à son ouverture à 10h. Là, ça sera l'achat en vitesse (monnaie-prépréparée) d'un CD et la course jusqu'au bus, où un manceaux m'attendait en même temps que son bus (la classe). Retour dans la routine : le sac est déposé au lycée, le cours d'allemand est toujours aussi intensif (mais à trois, ça serait difficile de faire autrement).

Changement d'optique, après les réjouissances du début de matinée... 6h de DS à venir : 1h de vocabulaire d'outre-manche (ou outre-atlantique ?) puis 5h de vocabulaire outre-intelligible.
"Pourquoi la souffrance ?". Question qui serait venu de toute façon à l'esprit quand on reste un certain nombre d'heures à la même place, à côté de la racaille de la classe dite aussi "coloc".


Ouais, j'ai réussi à mettre une image "émo" !


Sortie de la salle, après presque 4h, pour aller dans ma chambre... Travailler. J'aime la géographie, définitivement. Heureusement, l'accompagnement musical est de rigueur avec le travail, ou plutôt "la réflexion" puisque le propre se fera "plus tard". ("quoi, c'est pour demain ? J'aurais le temps... Je finis demain midi, dans le pire des cas !")

Le véritable interêt de l'article est ici.
Ceux qui veulent ne sont pas obligés de lire les pérégrinations ci-dessus. (mais certains me feront remarquer que, dans une logique certaine, ou une certaine logique, si ils sont rendus ici dans la lecture c'est qu'ils ont lu ce qu'ils précèdent... Et bien : "ou pas".)
Bref : avant-première du dernier Gus Van Sant aux 400 Coups, Paranoïd Park.

Plus abouti qu'Elephant. C'est la première pensée qui me vient en sortant. Je suis époustouflé, c'est le terme. En fait, je ne suis pas dans le même état qu'en sortant de Last Days "à l'époque". C'est différent. Et pour cause, il est beaucoup plus proche qu'Elephant... Mais il y a un plus par rapport à ce dernier. Surement parce qu'il donne à voir la réaction après le meutre accidentel, et non pas ce qui précède. Comme d'habitude, enfin, le film est magnifié par la BO.
C'est tout ce qu'il a à dire. En-dehors d'une dernière incitation à aller le voir pour se faire son propre avis dessus.

Mais retour en force du "skatos" que je suis ?

Et ensuite, c'est la fin d'une frise et d'une journée...

lundi 3 septembre 2007

La fin du début.

Nouvelle étape, nouveau changement... En même temps, un changement peut-il être vieux ? C'est un peu comme les autres alternatives tout ça...


Que va devenir ce blog ?
C'est la question qui trotte dans ma tête depuis un moment déjà. Une question de plus en plus essouflée, sans avoir trouver la réponse. Je ne me vois pas arrêter, pour la simple raison que je me plaisais bien ici (malgré des périodes de "vide" inévitables)...


Cependant, face au flot d'incertitudes qui est en train de m'envahir... et presque deux semaines vacantes d'articles, la question du devenir est vraiment inévitable.
A priori, je mets le blog en stand-by dans un premier temps, avant de voir ce que cela deviendra. Autrement dit, je ne réponds même pas à ma question ! Bref, c'est n'importe quoi et c'est ça qui est bien...

Je part vers ce grand ami appellé le "rien". Lui qui est froid pour certains, agréable pour d'autres, car "à l'abri de l'enfer, à l'abri du bon Dieu". (et ceux qui disent que je pique tout à Luke... c'est vrai) Et peut-être d'ailleurs que je ferais un blog parallèle pour parler de mes ressentiments face à la prépa, ou alors que je le ferais ici mais normalement ce n'est pas la place.

Y'a des trucs assez sympa ici ou , allez y faire un tour.


Bref, et je terminerais là-dessus (ouf, n'est-ce pas ?), faisons un départ en musique. Musique d'enterrement "made by Côme"... Non, quand même pas. Et puis c'est une autre et longue histoire ça. mais ça ferait le sujet d'un excellent article, je note.
Solution de facilité avec "Au Revoir et Merci" par les Zab'... Mouais... Des extraits de l'énorme BO de Weeds ? Ca se tente. Un peu de folie "venue de Montreal"... Ca se refuse pas !


Résultat des courses : un mix avec 6 chansons...
Little Boxes - Elvis Costello (Malvina Reynold cover)
Bathtime In Clerkenwell - (The Real) Tuesday Weld
Music When The Lights Go Out - The Libertines
Heimdalsgate Like a Promethean Curse - Of Montreal
La Terre Ferme - Luke
Au Revoir Et Merci - Zabriskie Point

La facilité a quand même du bon, parfois...

lundi 11 juin 2007

Plongeon dans la connaissance...


- Les oeuvres d'art sont-elles des réalités comme les autres ?

Vous avez 4 heures.

Mais ceci est un indice de réponse.


- Quels sont les espaces moteurs de la mondialisation ?
ET
- Texte sur "Le Plan Marshall et la Conférence de Paris". Avec Molotov (cocktail de son prénom) dans le rôle principal.

Vous avez 4 heures.

Les Etats-Unis transmettent le Plan à l'Europe...


- Dans votre lecture du recueil d'Yves BONNEFOY, Les Planches courbes, quelles relations établissez-vous entre la section "Les planches courbes" et les deux autres sections étudiées : "Dans le leurre des mots" et "La maison natale"
ET
- En quoi la poésie d'Yves BONNEFOY est-elle une quête ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur votre lecture des trois section
s au programme des Planches Courbes.

Vous avez 2 heures.

Et le voyage bachotique continue...


Ainsi que des épreuves linguistiques, avec un certain Ironimus en caricature d'allemand européen, un texte "classique" sur RDA-RFA à l'écrit, du Marie Higgins Clark en anglais, un oral d'italien... 7h20.
Sans oublier les épreuves anticipées en Première : français, matières scientifiques, TPE... 7h20 de nouveau.
Totaux : 24h40.
Conclusion : Le bac, c'est une simple journée comme les autres.
Epilogue : Pour les fanatiques du corrigé, y'en a des gratuits ici.


Allea Jacta Est... Et maintenant, il va falloir s'orienter pour la prépa.. avec quelques lectures, par ci par là. "Stand Up", comme disent les Dead 60's.

jeudi 31 mai 2007

Soleiiiiil ! (comme dirait Le Nombre)

En route vers un record battu...

Pour les enfants qui passent par ici. Un petit jeu de coloriage..

Cependant, de quoi parler dans cet article, qui cloture le mois de mai ?
La reproduction de la mouche tsé-tsé ?
Concerts de Déportivo, à St-Nolff et Bergerac ? (incriptions disponibles de la même façon que pour The Edukators)
Les journées qui commencent la nuit ?
Le sommeil, avant, pendant, après, où va-t-il ?

Ou... Le "mystère soleil". Cette chose étrange, l'étoile qui nous réchauffe en fait... Parfois trop, parfois pas assez... Qu'on observe sans pouvoir la regarder.
Généralement, on le regrette quand il n'est plus là. Mais si il montre trop sa présence, certains le maudissent et réclament son départ.
Il est un peu comme tout, au final...
Le soleil. Cette chose étrange, cette étoile dont on est persuadé qu'elle tourne autour du pot sans oser réélement le manger... Car en réalité, les rôles sans qu'on le sache sont inversés.
Tout et rien.
Néant et puissant.
Tourneur autour duquel on tourne.
Trompeur qu'on trompe.
...

Bref, tout cela parce que ce fût un mois pas si ensoleillé que ça. Tourner la page et se lancer dans ce mois de Juin est (presque) une bonne nouvelle.
Comme dit Eiffel dans son dernier album, telle une prévision :
Des lits qui s'envolent et des louves au démons vallonés lovées là
Il n'y aura pas de mais
Avril pourra remettre ça.

Attention : ceci n'est pas une pub' !

Et surtout, n'oublions pas ceci : Etre triste, ce n'est pas drôle.


Surtout quand il y a Patti Smith le soir ! Allez, on se revoit dans un autre monde M. Internet...

mercredi 9 mai 2007

Parfois, électoral et musical riment...

Ma requinquécence dans la "blogosphère" est étonnante, je trouve.


Les Fatals Picards désormais, ça dit quelque chose à la plupart des gens... Ba oui, ils ont gagné la sélection française pour l'Eurovision 2007.

Cependant, quid de l'Eurovision 2007 maintenant ? Et bien ça approche, c'est tout de suite, c'est samedi ! Nom de nom, les élections ne nous quittent plus maintenant.

Eurovision, vous connaissez pas ? Vous avIez de la chance.

Et pour ne pas rester sur la dernière défaite (bon, certes, pour beaucoup c'était une victoire... mais... comment dire... bref.) je vous invite tous à déménager pour quelques heures (ou 5 ans) dans un de nos cher pays voisin européen ! Vous pouvez vous prendre pour Johnny et aller en Suisse. Vous pouvez aussi vous prendre pour Johnny et vouloir devenir Belge. A la limite, c'est même possible de vouloir se prendre pour Johnny et partir du côté de Monaco. Sinon, y'a Martine à la plage mais c'est moins intéressant dans notre cas.
Pourquoi c'est moins intéressant ? Pourquoi on partirait pas plutôt au Québec, en Argentine voire au Japon ? Pourquoi l'Europe et toujours l'Europe ? Pourquoi pas le centre de la Terre ou la Lune à la fin ?
Mais je l'ai dit ! Suivez un peu, à la fin... C'est pas possible ! Oui même vous l'endormi du radiateur à côté de la fenêtre. Je sais bien que les cours c'est pas passionnant, mais faîtes un effort. L'heure est grave !
La chanson aussi est grave (bien) d'ailleurs...
L'objectif est la victoire ! Non, nous ne ferons pas 47% ! Non, nous ne finirons pas avant-dernier ! Non, nous ne nous prendront pas pour Marie Myriam !... Euh... Si, nous serons la nouvelle Marie Myriam !

D'ailleurs le deuxième depuis la gauche ressemble à M. Myriam non ?

Alors samedi, double-action, double-effet et double-victoire.
La mission est simple : déménagement comme indiqué là-haut. Ensuite, vous prenez votre portable et... SMS en faveur des divins (parfois) chauves (faut remplacer le vrai qui ne l'est plus) et surtout venus d'une région provincial au nom qui rappelle des animaux voleurs (c'est surement de là que viennent les rumeurs sur eux)... Je suis ? Je suis ? Julien Lepers oui !
*Note : raison de plus de déménager, il présente la soirée en France avec Tex*
Philippe (riz-au-lit) vous avez la main.
Allez vite une réponse.
Les Fatals Picards ?

Bravo !
France : 12pts.
La ressemblance est vraiment frappante...!


Dire qu'au début, je devais faire un truc sur la nouvelle série de Canal Plus.